
Soulager la douleur, autrement
Chez Rubens, nous intégrons la photobiomodulation (PBM) dans un protocole de soins encadré, pour aider les patients douloureux chroniques à retrouver confort et mobilité.
Notre méthode repose sur la rigueur scientifique, la standardisation des protocoles et l'écoute du patient.

Comment fonctionne la PBM ?
Les infrarouges pénètrent les cellules
Les moteurs de la cellule produisent plus d'ATP (énergie cellulaire)
Les processus de réparation et régénération sont accélérés
L'inflammation diminue sans infiltration de corticoïdes
Le patient est d’abord évalué par un ostéopathe
Protocole de soin
Réduction progressive de la douleur et amélioration du confort au quotidien.
Soulagement durable
Prise en charge individualisée, suivie et évaluée à chaque étape.
Accompagnement humain
Qu'est-ce que la Photobiomodulation ?
La photobiomodulation (PBM) utilise des longueurs d'onde infrarouges pour stimuler les processus naturels de guérison et de réparation du corps, sans médicament ni intervention invasive.

Stimulation cellulaire
Certaines longueurs d'onde stimulent l'activité des mitochondries, favorisant la production d'énergie cellulaire.

Action anti-inflammatoire
Réduction de l'inflammation locale et amélioration de la circulation sanguine dans les tissus traités.

Réparation tissulaire
Accélération des processus naturels de cicatrisation et de régénération des tissus endommagés.
Oui. Son efficacité est bien démontrée en cancérologie, en dentisterie et en médecine vétérinaire. De nombreuses publications attestent de son innocuité et de son action sur l'inflammation et la cicatrisation. Pour les douleurs neuropathiques et post-radiques, l'effet antalgique est reconnu. Concernant les douleurs articulaires, les études restent limitées et parfois hétérogènes (par exemple sur la gonalgie et la lombalgie). L'une des missions de Rubens est justement de codifier et valider des protocoles spécifiques pour ces indications.
Non. L'usage thérapeutique de la lumière remonte à plus de 3 000 ans en Inde (Atharva Veda). Aux XVIIIe et XIXe siècles, l'héliothérapie était utilisée en Europe pour soigner certaines maladies cutanées ou infectieuses. En 1903, Niels Finsen reçut le prix Nobel pour ses travaux sur la lumière artificielle dans le lupus. L'invention du laser en 1960 a ouvert la voie à la photomédecine moderne. Puis en 1965, le Dr Endre Mester (Hongrie) observa que de faibles doses de laser stimulaient la cicatrisation et la repousse des poils : la photobiomodulation moderne était née. C'est donc une discipline ancienne, enrichie par les technologies contemporaines.
La PBM est sûre et ne présente aucun effet indésirable connu lorsqu'elle est utilisée correctement. Deux règles sont néanmoins impératives : Contre-indication absolue chez la femme enceinte. Port de lunettes obligatoires pour protéger la cornée (risque de kératite irréversible en cas d'exposition directe).
Trois explications principales : Des habitudes médicales : la PBM soulage la douleur et améliore le confort, mais n'agit pas directement sur la cause. En médecine occidentale, la priorité a longtemps été donnée aux médicaments. Un manque de formation : elle est très peu enseignée en faculté, donc encore méconnue de nombreux professionnels. Le coût du matériel : les appareils performants restent chers et ne sont pas remboursés, ce qui limite leur diffusion.
Non. Plus de 700 essais cliniques randomisés et plusieurs milliers de publications démontrent son efficacité dans certaines indications : mucites post-chimiothérapie, ulcères diabétiques, douleurs musculosquelettiques, arthrose… Elle est intégrée dans des recommandations internationales (MASCC/ISOO pour la mucite orale) et la FDA a déjà approuvé certains dispositifs. La PBM est donc une médecine basée sur les preuves, en cours d'intégration dans les référentiels officiels.
La PBM a un coût lié au matériel, aux locaux et au personnel. Mais comparée aux dépenses engendrées par la douleur chronique (consultations, examens, médicaments, chirurgie…), elle peut représenter une option moins lourde à long terme. Elle permet aussi d'éviter les coûts indirects : arrêts de travail, isolement, sédentarité, comportements néfastes pour la santé. La PBM représente donc un investissement pertinent pour le patient.
Comme tout traitement, ses résultats dépendent de plusieurs facteurs : la cause et l'ancienneté de la douleur, son intensité, l'âge du patient, le tabagisme, etc. C'est une approche logique dans la prise en charge de la douleur, mais qui doit encore être affinée par des protocoles précis. Rubens a pour mission de développer ces connaissances et d'optimiser son efficacité.

